rosacées (rosales)
AGP III/IV / PPG I : Rosaceae (Rosales)

cerisier noir

Prunus serotina ; néerl. kers (vogel-, amerikaanse)

calendriers

floraison (corymbe)
1   2   3   4   5   6   7   8   9   10   11   12   gel
fructification (drupe)
1   2   3   4   5   6   7   8   9   10   11   12

Ou cerisier d’automne, cerisier tardif, cerisier de Virginie.

 

Le cerisier noir est un arbre? forestier ou de sous-bois, drageonnant?, qui a tendance à être envahissant dans certaines forêts. Sa floraison blanche et parfumée consiste en des grappes? (ici des corymbes?) de fleurs? encore plus longues que celles du merisier à grappes qui apparaissent en mai-juin.

Ses fruits? sont comestibles et apparaissent plus tardivement que ceux des cerisiers cultivés. Son bois est de qualité dans sa région d’origine mais moins intéressant ailleurs..

L’éradication de cette espèce? est recommandée par divers organismes [1].

 
Prunus serotina est/a été utilisé pour ses propriétés médicinales

Les fruits? et l’écorce sont utilisables en teinture (violet, brun-chocolat), comme le merisier.

Voir sur herbier :
Guide des plantes de la KUL (Louvain)
Herbier virtuel de Gembloux
Digitale2 (CBNB de Bailleul)

Sur les risques d’intoxication, voir aussi sur le Système canadien d’information sur la biodiversité. Système canadien d’information sur les plantes toxiques.

publication : 18 septembre 2006 ; mise à jour : 27 avril 2021

[1Voir aussi une étude au diagnostic assez mesuré sur une fiche de la Fédération des conservatoires botaniques régionaux :
http://www.fcbn.fr/sites/fcbn.fr/files/ressource_telechargeable/fiche_prunus_serotina_sr.pdf.


 
 
 

Animaux hébergés

❦ Aussi, papillons (chenilles ou ponte) sur le genre Prunus :
zérène du groseillier (Abraxas grossulariata)  ; zérène de l’orme (Abraxas sylvata)  ; xanthie rufine (Agrochola helvola)  ; angéronie du prunier ou phalène du noisetier (Angerona prunaria)  ; gazé ou piéride de l’aubépine (Aporia crataegi)  ; phalène du bouleau (Biston betularia)  ; biston précoce ou marbrée (Biston strataria)  ; écaille marbrée ou écaille lustrée (Callimorpha dominula)  ; pudibonde ou patte-étendue (Calliteara pudibunda (Elkneria pudibunda))  ; céladon (Campaea margaritata (Campaea margaritaria))  ; lichénée jaune (Catocala fulminea (Ephesia fulminea))  ; phalène à bandes vertes (Chloroclysta siterata)  ; cidarie roussâtre (Chloroclysta truncata (Dysstroma truncata))  ; petite épine (Cilix glaucata)  ; verdelet (Comibaena bajularia)  ; double-oméga (Diloba caeruleocephala)  ; cidarie rompue (Electrophaes corylata)  ; hibernie défeuillante (Erannis defoliaria)  ; cul-brun (Euproctis chrysorrhoea (Euproctis phaeorrhea))  ; cul-doré (Euproctis similis)  ; satellite (Eupsilia transversa)  ; feuille-morte du chêne (Gastropacha quercifolia)  ; phalène sillonnée (Hemithea aestivaria)  ; flambé (Iphiclides podalirius)  ; noctuelle du genêt (Lacanobia w-latinum (Mamestra w-latinum))  ; bombyx du chêne ou minime à bandes jaunes (Lasiocampa quercus)  ; crochet (Laspeyria flexula)  ; phalène du fusain (Ligdia adustata)  ; phalène satinée (Lomographa temerata)  ; bombyx disparate (Lymantria dispar (Porthetria dispar))  ; nonne (Lymantria monacha)  ; philobie alternée (Macaria alternata (Semiothisa alternaria))  ; bombyx de la ronce (Macrothylacia rubi)  ; bombyx à livrée (Malacosoma neustria)  ; casque (Noctua janthina)  ; nole-capuchon (Nola cucullatella)  ; grande tortue (Nymphalis polychloros)  ; feuille-morte du prunier (Odonestis pruni)  ; cheimatobie hiémale ou phalène brumeuse (Operophtera brumata)  ; citronnelle rouillée (Opisthograptis luteolata)  ; bombyx antique ou étoilée (Orgyia antiqua)  ; orthosie variable (Orthosia incerta)  ; phalène du sureau (Ourapteryx sambucaria)  ; eupithécie rectangulaire (Pasiphila rectangulata (Chloroclystis rectangulata))  ; phalène linéolée (Plagodis dolabraria)  ; bombyx du peuplier (Poecilocampa populi)  ; petit paon de nuit (Saturnia pavonia (Eudia pavonia))  ; thécla de l’yeuse (Satyrium ilicis (Nordmannia ilicis))  ; thécla du prunier ou thécla du coudrier (Satyrium pruni (Fixsenia pruni))  ; ennomos lunaire ou croissant (Selenia lunularia)  ; ennomos illustre (Selenia tetralunaria)  ; sphinx demi-paon (Smerinthus ocellata)  ; phalène du buplèvre ou phalène du thym (Thalera fimbrialis)  ; thécla du bouleau (Thecla betulae)  ; bombyx de l’aubépine (Trichiura crataegi)  ; chevelure dorée (Viminia auricoma (Acronicta auricoma))

Absent de la Flore de Coste.

Les notices de la Flore de la France (1937) d'Hippolyte Coste (1858-1924) sont reprises de Tela Botanica.