Arcade et Hilaire (13 janvier), gèlent les rivières.
À cette date : nous avons déjà observé ce(t/s) événement(s)
❦ floraison 2021 (perce-neige) — Val de Marque, jardin médicinal de la ferme du Héron (plus)❦ pointement 2020 (nivéole d’été) — Val de Marque, jardin au naturel de la ferme du Héron❦ pointement 2019 (crocus de Tommasini) — Val de Marque, jardin au naturel de la ferme du Héron❦ bourgeons 2017, pointement du vert (cassissier) — Val de Marque, potager pédagogique de la ferme du Héron❦ floraison mâle 2015 (aulne blanc) — Val de Marque (plus)❦ débourrement bourgeons à fleurs 2015, début (cornouiller mâle) — Val de Marque, jardin au naturel de la ferme du Héron❦ floraison 2014 (aulne blanc) — Val de Marque (plus)
La tradition a rattaché, jusqu’au 17e siècle surtout, des dictons météorologiques ou phénologiques aux jours du calendrier. Ce calendrier a été décalé d’une dizaine de jours par la réforme grégorienne — en 1582-1583 pour la France — ; de plus, le calendrier liturgique catholique lui-même (les listes de saints, saintes et événements liés à des dates) a varié avec le temps [1]. Aussi certains dictons ne correspondent plus à la place du « saint » correspondant ou sont décalés (notamment pour les dictons autour des solstices) [2].
Si certains dictons peuvent avoir une explication technique ou scientifique, ce n’est pas le cas de la plupart. Par ailleurs, beaucoup sont locaux et ne correspondraient pas à toutes les régions ou à toutes les pratiques agricoles ni aux évolutions climatiques constantes — depuis toujours. Pour finir, les dictons à connotation « magique » n’ont pas été intégrés.