❦
pourpier
Portulaca oleracea ; néerl. postelein
calendriers
semis pleine terre
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
gel
|
récolte
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
|
Autrefois, dans le Nord, on cultivait le pourpier glacial. Il semble difficile d’en trouver actuellement.
Le pourpier peut se ressemer tout seul ; il est même considéré comme envahissant sur des terrains légers, ensoleillés et bien drainés. Sous abri, on le sème dès avril (à ne pas repiquer ! pour récolter 4 à 8 semaines après suivant la météo), sinon dès mi-mai et avant aout. On récolte les tiges? complètes, en laissant un peu de la base, avant qu’elles ne fleurissent et on les consomment crues ou cuites. Les feuilles? — succulentes? (et délicieuses !) — se confisent aussi au vinaigre comme des salicornes.
Portulaca oleracea est/a été utilisé pour ses propriétés médicinales
Voir sur herbier :
Herbier de Bourgogne
Guide des plantes de la KUL (Louvain)
Digitale2 (CBNB de Bailleul)
Autre herbier : Vanette. « Pourpier » in Notes de terrain (8 aout 2020)
publication : 26 mars 2004 ; mise à jour : 3 décembre 2021
/B_article_principal_papillon>
Bibliographie
Voir aussi sur Zoom nature :
Description de Coste (tome 2, taxon n°1326)
Nom présent dans la flore de Coste : Portulaca oleracea L.
- Plante annuelle? de 10-30 cm, rameuse?, couchée, charnue ; feuilles? opposées? ou les supérieures alternes?, obovales?-oblongues?, en coin à la base et sessiles?, épaisses, luisantes ; fleurs? jaunes, sessiles, solitaires ou agglomérées à l’aisselle? et au sommet des rameaux, involucrées par les feuilles supérieures ; 2 sépales?, inégaux, obtus?, carènes? sous le sommet, à la fin caducs? ; 4-6 pétales?, libres? ou un peu soudés à la base, très caducs ; 6-12 étamines? ; style? à 4-6 branches ; ovaire? adhérent? à la base ; capsule? (pyxide?) ovoïde? s’ouvrant circulairement en travers, à graines nombreuses, noires, luisantes.
- Lieux cultivés et incultes, dans toute la France et en Corse. Régions tempérées et chaudes de tout le globe.
Les notices de la Flore de la France (1937) d'Hippolyte Coste (1858-1924) sont reprises de Tela Botanica.