À la Saint-René, couvre ton nez.
À cette date : nous avons déjà observé ce(t/s) événement(s)
❦ jaunissement 2022, 50 % (érable plane) — Val de Marque, réserve naturelle❦ jaunissement 2021, 50 % (amélanchier) — Val de Marque, jardin au naturel de la ferme du Héron❦ jaunissement 2021, 100 % (tulipier de Virginie) — Val de Marque❦ défeuilllaison 2020, 50 % (saule marsault) — Val de Marque❦ défeuillaison 2017, fin (sureau noir) — Val de Marque❦ défeuillaison 2016, 50 % (noisetier de Byzance) — Val de Marque❦ floraison 2015, fin (hélianthe vivace) — Val de Marque, jardin au naturel de la ferme du Héron (plus)❦ floraison 2013, fin (menthe poivrée) — Val de Marque, jardin médicinal de la ferme du Héron❦ jaunissement 2013, 100% (tilleul à petites feuilles) — Val de Marque❦ floraison 2013, fin (verge d’or) — Val de Marque, jardin médicinal de la ferme du Héron
La tradition a rattaché, jusqu’au 17e siècle surtout, des dictons météorologiques ou phénologiques aux jours du calendrier. Ce calendrier a été décalé d’une dizaine de jours par la réforme grégorienne — en 1582-1583 pour la France — ; de plus, le calendrier liturgique catholique lui-même (les listes de saints, saintes et événements liés à des dates) a varié avec le temps [1]. Aussi certains dictons ne correspondent plus à la place du « saint » correspondant ou sont décalés (notamment pour les dictons autour des solstices) [2].
Si certains dictons peuvent avoir une explication technique ou scientifique, ce n’est pas le cas de la plupart. Par ailleurs, beaucoup sont locaux et ne correspondraient pas à toutes les régions ou à toutes les pratiques agricoles ni aux évolutions climatiques constantes — depuis toujours. Pour finir, les dictons à connotation « magique » n’ont pas été intégrés.