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acore
Acorus calamus ; néerl. kalmoes
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Près de l’eau, supporte même jusqu’à 20 cm de submersion. Utile comme plante épurative dans le lagunage et pour consolider les berges. Les feuilles? ne poussent que sur la partie jeune du rhizome?.
La fleur? est — comme pour les arums, avec lesquels l’acore a longtemps été classée — en fait un spathe? [1].
Acorus calamus est/a été utilisé pour ses propriétés médicinales
Voir sur herbier :
Herbier de Bourgogne
Digitale2 (CBNB de Bailleul)
publication : 7 juin 2008 ; mise à jour : 5 décembre 2021
[1] Bractée? foliacée? qui enveloppe une inflorescence? (Flor. ill. rég. N-PdC, 1996).
caractéristiques
pH du sol |
pH 6
/ pH 6,5
/ pH 7
/ pH 7,5
/ pH 8
/ pH 8,5
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/B_article_principal_papillon>
Description de Coste (tome 3, taxon n°3686)
Nom présent dans la flore de Coste : Acorus calamus L.
- Plante vivace? de 50 cm à 1 mètre, glabre?, à souche? souterraine épaisse, horizontale, articulée, radicante?, très aromatique ; feuilles? toutes radicales?, distiques?, longuement linéaires? en glaive (1-2 cm de large), engainantes ; spathe? foliacée?, très longue, dressée, persistante? ; spadice? latéral, 5-6 fois plus court que la spathe, entièrement recouvert de fleurs? hermaphrodites? serrées en épi? cylindrique-conique sessile? ascendant? jaunâtre ; périanthe? à 6 divisions? courtes scarieuses? ; 6 étamines? opposées? aux écailles?, à filets? filiformes?, anthères? didymes?, à 2 loges? s’ouvrant en long ; stigmate? sessile, obtus? ; fruit? capsulaire, petit, en pyramide renversée, à 2-3 loges et graines.
- Mares, étangs, rivières, dans l’Est, des Ardennes à l’Isère, et çà et là naturalisé? ailleurs. Europe centrale et boréale ; Asie ; Amérique boréale.
- Floraison mai-aout.
Les notices de la Flore de la France (1937) d'Hippolyte Coste (1858-1924) sont reprises de Tela Botanica.